Archipel Parfums

Création de site Web : conseils d'Imélia, pour NE PAS se faire arnaquer - Processus de vente 1 par Imélia

 
 
Voilà le 3ème article proposée par Imélia, graphiste webdesigner qui nous mets en garde contre les "arnaqueurs du web" afin que nous "novice en la matière" puissions nous entourer des "bons prestataires".

Pour ce faire prenons quelques précautions.

Une nouvelle saga fait suite à une arnaque vécue et racontée sur le forum des Mampreneurs par une membre du réseau.

Cette troisième partie traitera d’une question – pour ne pas dire LA question essentielle ?

Comment contractualiser la commande, la réalisation, et le paiement ?

 
 1 : le devis

Vous vous apprêtez à créer, et donc à acheter, un site internet.
Pour cela, vous avez choisi avec soin votre prestataire.

Vous lui avez transmis votre cahier des charges (plus ou moins fourni selon les cas, un petit site ne nécessite pas forcément un cahier des charges de 30 pages  ), et attendez en retour l’émission du devis qui viendra répondre aux attentes énumérées.

Il est important de considérer que, dans ce métier et dans 99,99999 % des cas (du moins chez les freelances), le devis vaut bon de commande dès lors qu’il est signé par le client.
Si c’est effectivement le cas, cette mention doit figurer en toutes lettres quelque part sur le document.

Par exemple, « tout devis signé vaut bon de commande ».

Si le devis ne vaut pas bon de commande, cela doit être indiqué aussi, et le bon de commande final devra, au choix, afficher visiblement le numéro de devis auquel il se rattache ou reprendre, à l’identique du devis qui s’y rapporte, le détail des prestations à réaliser.

Certains clients ne le savent pas forcément, mais le devis est un document contractuel : en d’autres termes, le devis ne sert pas qu’à comparer les prix des prestataires de votre liste et à aller au moins cher. Il doit permettre de valider la prestation envisagée, de vérifier que la proposition est bien en adéquation avec l’attente initiale, et définir le cadre de réalisation de la prestation.
En conséquence, le prestataire est obligé de réaliser les opérations énoncées sur le devis et le client, lui, doit s’en tenir à elles.

Si des prestations non indiquées (et donc imprévues dans le contrat initial) sont à ajouter en cours de projet, il est tout à fait normal que le prestataire émette un nouveau devis pour celles-ci :

Vous acceptez le devis supplémentaire : les nouvelles contraintes sont ajoutées à la liste des opérations ...

Vous le refusez : vous devrez vous en tenir à ce que vous aviez demandé au départ. Il n’est pas rare que des clients ne comprennent pas ce processus (du moins, pour ma part, j’ai souvent eu des questions à ce sujet).

Si j’indique au client que j’installerai sur son site un nombre N de prestations pour XXXX euros, chacun de nous devra s’en tenir à ces termes initiaux.
Dans le cas contraire, il faudra prévoir de rajouter quelques euros car le travail de votre prestation me demandera plus de temps que prévu.

Voici ce que votre devis doit présenter, et ce que vous devez vérifier avant de signer (en dehors, bien sûr, des traditionnelles mentions légales que sont le n° de SIRET du prestataire, ses coordonnées…)

1) Vérifiez que le devis exprime de manière claire (en intitulé du document, sur une ligne « missions » …il y a diverses possibilités) les missions qui seront à la charge du prestataire.
Par exemple, si vous avez demandé un site e-commerce, et que nulle part vous ne voyez la mention « site e-commerce » ou que rien dans le descriptif des prestations n’évoque cette spécificité du site, c’est potentiellement risqué : si la mention « e-commerce » n’apparaît pas dans le devis et que le prestataire vous livre un site vitrine, vous ne pourrez pas réclamer grand chose et ce même si votre cahier des charges faisait état de cette spécificité.
Le cahier des charges est lui aussi un document contractuel, mais il ne constitue pas à lui seul le contrat commercial, qui dans notre cas est bien matérialisé par le devis / bon de commande. Un cahier des charges mentionnant un site e-commerce mais un devis signé faisant simplement état d’un « site internet », ça n’a plus beaucoup de valeur…

2) Faites également un petit test très simple : après lecture du devis et si celui-ci a été clairement rédigé, vous devriez être en mesure de reformuler avec vos propres mots le type de prestation proposée : intitulé, outil utilisé (CMS, pas CMS? Si oui, lequel?), étapes et modalités de création/de développement (combien de maquettes par exemple), fonctionnalités du site proposé, délais de réalisation, conditions de mise en ligne si vous avez demandé ce service, et enfin prix total du projet (de la création à la livraison finale).
La liste n’est pas exhaustive et dépend également du projet engagé, mais c’est déjà une bonne base de réflexion.

3) Vérifiez que le prestataire vous donnera accès à la version de développement de votre site :
Ce service est indispensable afin que vous puissiez contrôler l’avancée des travaux et vérifier que tout se passe selon vos spécifications.
La version de développement vous permettra également de tester le site avant sa mise en production définitive : modules, fonctionnalités, navigation, test des plateformes de paiement….
Si votre prestataire vous annonce que vous n’aurez pas accès à une telle interface, fuyez.
Vous devez absolument pouvoir valider la version finale du site web avant sa mise en ligne car mise en ligne = facture.
Si le site mis en ligne n’est pas fonctionnel et que vous n’avez pas eu l’occasion de le tester…la facture arrivera quand même et il y a fort à parier que vous aurez beaucoup de mal à faire réaliser les prestations manquantes.
Sans compter le préjudice subi par votre activité avec la mise en ligne d’un site à moitié terminé…

4) Je ne vais pas énumérer ici tout ce que pourrait contenir votre document : il y a autant de devis que de sites web, mais concrètement, à la lecture du document, gardez à l’esprit une question :

Les contraintes émises par le cahier des charges sont-elles respectées ?
- Ai-je effectivement une interface d’administration ?
- Puis-je ajouter moi-même des fiches produits ?
- Mes clients peuvent-ils s’enregistrer sur mon site ?
- Ont-ils accès au récapitulatif de leurs commandes ?
- Puis-je modifier moi-même les textes ?

bref, tout ce dont vous avez besoin et que vous avez indiqué en amont au prestataire. Si ce n’est pas le cas, demandez une révision du document en pointant les éléments manquants.

Avant de passer à la seconde partie, je vais tout de même nuancer un peu ce que j’ai pu dire dans les deux premiers articles, notamment au sujet des termes techniques :
- Il y en aura toujours dans un devis, et dans la bouche d’un prestataire web, c’est inévitable, il faut appeler un chat un chat. 

Ce que je veux dire lorsque je vous conseille de tenter de reformuler la prestation qui vous est proposée : il y a aura peut-être des termes plus ou moins techniques dans votre devis.
Par contre, si vous êtes incapable d’énoncer à haute voix ce que vont permettre ces termes techniques, alors ne signez pas.
Demandez des éclaircissements et une nouvelle version du document, avec un détail « accessible » des prestations (autrement dit compréhensible même par un non initié).
Vous devez absolument comprendre ce que vous achetez car c’est votre meilleure protection. Dans le cas contraire, un prestataire mal-intentionné pourra vous vendre n’importe quoi, et à n’importe quel prix.

Article 1
Article 2

Soin au miel suite : Le miel et le les cheveux (Chute et péllicules)

Dans mon billet d'hier sur le miel et les cheveux je vous donnais quelques conseils pour hydrater, faire briller ....

Les astuces du jour porteront sur la chute des cheveux et les pellicules.

La chute des cheveux est un phénomène qui peut avoir différentes origines, on sait aussi qu'il n'y a pas de "recettes miracles" mais on peut toujours tenter les petites recettes de grands-mère pour la ralentir.

RECETTE : Shampooing Antichute

- 1 Cuillère à soupe (ou plus selon la longueur de vos cheveux) de votre shampooing
- 1 Cuillère à soupe d'eau
- 1 Cuillère à café de miel
- 2 à 3 gouttes d'huile essentielle d'Ylang Ylang

 
 
Versez votre mélange sur les cheveux et massez délicatement le cuir chevelu.
Laissez poser environ 5 minutes avant de rincer

Le + du pollen : En cas de chute de chute de cheveux anormale et/ou prématurée faites une cure de pollen pendant quelques semaines.
Idéalement faites vos cures aux changements de saisons.

 

 
Passons maintenant au problème de pellicules ...
Bien souvent les pellicules sont dues à une sécheresse importante du cuir chevelu.
Le miel intervient là comme réhydratant en la rééquilibrant naturellement.

Recette : Lotion antipelliculaire

Il suffit tout simplement de prendre 75 ml d'eau trés tiède, d'y ajouter 1 cuillère à café de miel liquide et 2 ou trois gouttes d'huile essentielle de géranium bourbon.

Appliquez en massant de mouvements circulaires votre cuir chevelu et procédez au shampooing.

 

Source : Le miel malin aux Editions Leduc

Soin au miel : Le miel et le les cheveux

Le miel et les cheveux sec

Pour les cheveux secs, ternes mais aussi contre la chute, le miel a une nouvelle fois de nombreuses vertus.

Quelques recettes de grands-mères pour rendre vos cheveux les plus beaux - Je me sers régulièrement de ces recettes toutes simples et trés rapide pour retrouver d'une part une brillance et d'autre part un cheveu nourri.

 

RECETTE : Masque hydratant cheveux

Dans un bol, à l'aide d'un petit fouet (ou d'une fourchette) battez :

- 1 Jaune d'oeuf
- 2 Cuillère à soupe de miel
- 1 Cuillère à café d'huile de Macadamia

 
     
 
Appliquez ce mélange sur des cheveux humides et poser une serviette humide (chaude si possible) pendant au moins 30 mns.

Procédez ensuite au lavage avec votre shampooing habituel.

Si vous avez le temps, je vous recommande d'utiliser cette recette une fois par semaine.

Le + de la Gelée Royale : Une cure de quelques semaines fortifiera vos ongles et cheveux.

 


RECETTE : Eau de rinçage Brillance Miel et huile essentielle d' Ylang-Ylang

- 1 Bouteille d'eau de 500 ml
- 1 Cuillère à café rase de Miel liquide
- 10 ml d'huile essentielle d'Ylang Ylang

Comptez 2 utilisations sur cheveux longs - 3 utilisations sur cheveux courts.

A utiliser sur cheveux lavés : Versez cette eau sur l'ensemble la chevelure et laissez sécher naturellement ou au séchoir.

Procédez au coiffage - Aucun rinçage nécessaire

 

 
 
RECETTE : Votre shampooing à rendre hydratant grâce au miel

Le miel peut aussi avoir sa place dans vos produits de toilette, en l'occurence votre shampooing habituel.

Dans un bol mettez 
- 1 jaune d'oeuf,
- 1 cuillère à café d'huiles végétales de Macadamia/Calophyllum
(Synergie d'huiles végétales particulièrement réparatrices pour les cuirs chevelus qui grattent)
- 2 goutte d'huile essentielle d'ylang Ylang

Rajoutez l'équivalent d'une grosse noisette de ce mélange à votre shampooing et massez puis laissez poser 5 minutes avant le rinçage.

Si vous souhaitez avoir ce mélange "à dispo" lors de chacunes de vos douches, vous pouvez le tenir prêt, dans ce cas n'y mettez pas le jaune d'oeuf.

 

 
 
Demain la suite des recettes avec un billet, sur la chute des cheveux et les péliculles.

Crumble Poire/Chocolat avec biscuit Traou Mad de Pontaven

 

Aujourd'hui et toujours grâce à TRAOU MAD DE PONT AVEN®, marque de biscuits bretons de haute qualité je vous propose une recette sympa et originale (en tout cas pour moi, elle l'aura été), que je n'avais jamais testé et j'avoue que je me suis ré-ga-lée !

D'ailleurs si je me suis régalée à ce point-là, c'est sûrment parce que :  «Traou Mad» en breton ben ça signifie purement et simplement : «Choses bonnes»

Venons-en aux faits avec les indrédients à prévoir.

 
Les quantités .... ?

- 6 Poires
- 150 Gr de chocolat noir

 

Pour le crumble :
- 150 g de beurre
- 150 g de sucre
- 75 g de farine
- 8 biscuits Traou Mad de Pont-aven
- 50 g de poudre de noisettes

 Cuisson : 20 à 30 minutes

 

 

A déguster tiède pour avoir le chocolat un peu fondant

 

Les échos : Femmes créatrices d'entreprises : zoom sur les aides

  

 Jeudi 8 Mars, à l'occasion de la journée de la femme, le site "les échos entrepreneurs" nous proposait un article trés intéressant sur la création d'entreprise par les femmes.

Ils nous confirmaient que les différences sont encore grandes entre créatrices et créateurs car selon l'Apce (Agence Pour la Création d'Entreprises) , les créatrices ne représentent aujourd'hui que 29 % des créations. 

Dans les secteurs les plus féminisés, on trouve :
- Les services (74 % des créations sont le fait de femmes),
- La santé (63 %),
- L'éducation (44 %),
- Les hôtels, cafés et restaurants (41 %)
- Lecommerce de détail (40 %).

En terme de financement, les femmes démarrent en général avec moins de capitaux (moins de 8 000 euros pour une majorité, et seules 12 % ont réuni 40 000 € ou plus).

En revanche, le recours à l'emprunt bancaire est presque le même que l'on soit un homme (37 % des créateurs) ou une femme (35 %). 

Phénomène nouveau et croissant : les Mompreneurs (Les nouvelles mamans chefs d'entreprise). 


 
Des réseaux et des aides

 


- Les Centres d'information aux droits des femmes (CIDF) :
Ces centres ont une vocation d'information aux femmes sur des thèmes variés (vie quotidienne, emploi, droit, etc.).
Certains ont mis en place pour les créatrices d'entreprise des stages de formation et des entretiens individualisés centrés sur la création d'entreprise : aide à l'élaboration du business plan, méthodologie de travail pour réaliser une étude de marché ; présentation des différents dispositifs d'aides et moyens de financement ; information sur les statuts, etc.
Pour trouver le CIDF le plus proche de chez vous, rendez-vous sur le site


 

- FGIF : Fonds de garantie à l'initiative des femmes (FGIF).
Il s'agit d'une garantie permettant de couvrir un prêt bancaire.
Le FGIF garantit jusqu'à 70 % des prêts de deux à sept ans, de 5 000 euros minimum (pas de montant maximal). Le montant garanti est limité à 27 000 €.
Le FGIF peut être attribué à toutes les femmes qui veulent créer, développer ou reprendre une entreprise ; et ce quel que soit le statut de la créatrice (salariée, sans emploi…), la forme juridique de l'entreprise, son secteur d'activité…

 
 
- Fédération Pionnières : ce réseau regroupe des incubateurs dédiés aux femmes créatrices dans le secteur des services innovants à la personne et à l'entreprise.
Ces incubateurs sont présents à Paris, en Normandie, Côte d'Azur, Rhône-Alpes, etc.
Les créatrices y trouveront un accompagnement ainsi que la mise à disposition de bureaux.
Précisisons que Frédérique Clavel - Présidente de Fédération Pionnières faisait cette année partie du jury du "Prix de l'entrepreuse 2010" organisé par Nora Esnault créatrice d'entrepreneuse'mag.

- Clefe : Club local d'épargne pour les femmes qui entreprennent.
Ces clubs accordent des prêts à des entreprises gérées et créées par des femmes (montant du prêt : entre 3 049 à 7 622 euros).
Ils sont mis en place à l'initiative de structures locales ou de créatrices. Pour les contacter, s'adresser aux réseaux classiques de l'appui à la création, tels que les plates-formes d'initiatives locales.

 

 

- Force femmes :
Cette association propose un accompagnement gratuit à des femmes de plus de 45 ans et inscrites à Pôle Emploi, souhaitant être soutenues dans leurs démarches de retour à l'emploi ou de création d'activité, selon des critères précis.
Les créatrices y trouveront conseil, formation et échanges, coaching.

 

 

- Entreprendre au féminin :
Ce sont des associations créées par des femmes chefs d'entreprise et proposant accompagnement, conseil en amont de la création ou en phase de développement.
Ces associations existent dans plusieurs départements, essentiellement en Bretagne et Poitou-Charentes.

Merci à Valérie Talmon - Journaliste pour les échos entrepreneurs pour cet enrichissant article

 


Pour ma part je souhaitais aussi vous parler du blog "Maman travaille" créé par Marlène Schiappa pour les mamans entrepreneuses, les mamans salariées, les mamans free-lances, en gros pour TOUTES les mamans qui travaillent, quel que soit leur domaine d'activité, leur statut (créatrices OU salariées) ....

Dans l'oeil des enfoirés - Les enfoirés 2011

 

Hier au soir, TF1 nous invitait à découvrir l'édition des "enfoirés 2011", comme d'habitude le spectacle fut à la hauteur de nos attentes, grandiose, émouvant .... avec des "enfoirés" toujours trés généreux.

 

 

 
 

Comme d'habitude, dés le lendemain (donc aujourd'hui) de l'émission le Cd et le Dvd sont dans les bacs.

Il est aussi possible de télécharger (LEGALEMENT bien sûr) l'album en cliquant sur le lien 

En achetant l'un et/ou l'autre de ces deux albums vous permettez aux "Restos du coeur"
de distribuer 18 repas. 

 

Cette année encore, les "restos du coeur" ont permis à plus de 830 000 personnes de ne pas manquer de nourriture. 

En 2010 c'est plus de 100 millions de repas qui sont distribués !

Alors, comme le disait Coluche "On compte sur vous" ..... !

Sur le plateau en 2011 :

Alizée, Tina Arena, Jean-Louis Aubert, Amel Bent, Alain Bernard, Laurent Blanc, Patrick Bruel, Thomas Dutronc, Patrick Fiori, Liane Foly, Fabien Gilot, Jean-Jacques Goldman, Grégoire, Jenifer, Michael Jones, Gérard Jugnot, Patricia Kaas, Claire Keim, Lââm, Camille Lacourt, Serge Lama, Michèle Laroque, Maxime Le Forestier, Nolwenn Leroy, Amaury Leveaux, Sébastien Loeb, Lorie, Renan Luce, Christophe Maé, Mimie Mathy, Jean-Baptiste Maunier, Maurane, Kad Merad, Yannick Noah, Pascal Obispo, Hélène Ségara, Mc Solaar, Natasha St-Pier, Christophe Willem, Zaz et Zazie, dirigés par Guy Delacroix et ses musiciens.

 

Soirée "Maman travaille" et "Mauvaises mères"

  

Maman travaille, le 1er réseau de mères actives, vous propose une soirée apéro-débat-dédicaces avec les auteures de « Mères indignes », Emma Defaud, Nadia Daam (chroniqueuse aux Maternelles) et Johana Sabroux, à paraître en mars 2011 aux Editions Privé.

 

Mères indignes ?
avec Emma Defaud, Johana Sabroux et Nadia Daam

vendredi 18 mars à 19 heures
au Poussette Café
Réservation obligatoire, places limitées

 

De la « mère médiocre » d’Elisabeth Badinter à la « mother fucker » de Florence Foresti, les mères indignes font leur coming out !

Emma Defaud, Nadia Daam et Johana Sabroux, déjà auteures de « Mauvaises mères » paru aux Editions Jacob-Duvernet, ont collecté pour l’occasion les témoignages de centaines de mères indignes, confiant qu’elles ont « pris une RTT pour aller au spa », « fait semblant de dormir pour laisser le père se lever la nuit » ou encore « oublié la poussette de la petite à l’école de la grande».

L’occasion de débattre avec les trois auteures du phénomène des « mères indignes ».

- Pourquoi se définit-on comme une « mère indigne » ?
- Par rapport à qui, à quoi ?
- Est-ce déculpabilisant ou stigmatisant ?
- Les mères qui travaillent sont-elles forcément des mères indignes ?
- Sommes-nous toutes un peu « mères indignes » ?

La soirée aura lieu le vendredi 18 mars à 19 heures au Poussette Café, dans le 9ème arrondissement de Paris.

Tarif : 8 euros (apéro au Champagne, bar à bulles et grignotages inclus)

Les inscriptions sont obligatoires auprès de Maman Travaille, par mail à
mamantravaille(at)yahoo.fr ou marlene(point)schiappa(at)gmail(point)com

 Petit clin d'oeil à Camilla Gallapia, créatrice du flyer de la soirée Mauvaises Mères

Arnaqueurs du web - article 2 par Imélia Webdesigner

Cet article est le second de le série « Les arnaqueurs du web ».

Objectif de cette partie :
- Comment bien choisir son prestataire ?

La suite des conseils donnés par Julie - Webmaster/webdesigner

 
 
Rendons à César au Client ce qui appartient au Client

Il n’est pas rare de rencontrer des clients qui font les choses « trop vite ».
Souvent parce qu’ils ne savent pas que la création d’un site web demande un certain temps et, aussi, de la maturation intérieure. J
e reviendrai plus tard (d’autres articles en perspective) sur la question spécifique du cahier des charges, qui est essentielle pour s’assurer de l’adéquation entre l’attente et le résultat, en revanche je vais insister un tout petit peu aujourd’hui sur le genèse du projet, et sa « gestation ». Il est en effet important de savoir ce que l’on veut, de s’approprier réellement son projet web. Certes, quelqu’un d’autre le réalisera pour vous, mais ce projet est et restera le vôtre.

Partant de là, le prestataire n’est « que » celui par lequel le projet prend vie. Il ne doit pas en prendre complètement les rennes, sans que vous ne puissiez plus rien contrôler. C’est l’élément fondamental de tout projet réussi : pouvoir confier votre demande les yeux fermés à quelqu’un, en sachant que cette personne respectera au mieux vos attentes. Évidemment, il est normal qu’un prestataire vous conseille sur certaines choses à modifier, ajouter, déplacer…c’est son métier, et son regard sur votre projet est le plus souvent pertinent et justifié.

Toutefois, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse: sans filet de sécurité (qui est tissé de l’ensemble des vos attentes indiscutables, sur lesquelles le prestataire devra créer votre site web), un prestataire un peu retords pourra vous faire avaler des couleuvres et vous livrer quelque chose qui se trouvera être à mille lieues de l’idée de base, bien souvent parce qu’il aura profité de vos faiblesses de client « ignorant », et vous aura abreuvé de tout un tas de termes technique qui vous auront fait bien peur et qui vous rappelleront sans cesse que vous n’y connaissez rien. Un client qui a peur est un client conciliant : « je n’y connais rien alors…autant le laisser faire, c’est lui le professionnel ». Et c’est vrai…dans une certaine limite.

Quelques conseils donc, dans cet article et les suivants, pour rester maître à bord…

Prenez votre temps !

- Du temps de réflexion d’abord: « je veux être présent sur le web: pourquoi ? pour quoi ? pour qui ? comment ? »

– Du temps de création ensuite: création de la charte graphique, maquettes, intégration, développement…il n’est pas rare qu’un site web mette deux, trois, quatre, parfois même 6 mois à voir le jour (certains mettent même un an…tout dépend de l’ampleur de la plateforme finalement. Imaginez une situation dans le bâtiment: un pavillon ne prend pas le même temps de construction qu’un château de 180 chambres. Et bien, c’est exactement pareil pour un site web: plus il est gros, et plus c’est long  )

Ce temps de création signifie que le développement d’un site implique une collaboration durable entre le client et son prestataire.
Autant donc bien le choisir, s’attarder sur la qualité de sa relation clientèle, son état d’esprit par rapport à son métier… autant de critères qui joueront sur votre sérénité avant, pendant, et après la création de votre site.

 

Conseil n°1: Epluchez les portfolios

A moins que vous ne choisissiez votre prestataire par le biais du bouche à oreille de clients précédents, la plupart des clients n’échapperont pas à la phase « Google est mon ami ».
Les portfolios sont très nombreux sur le web. Quelques mots clés ciblés sur Google vous listeront un nombre affolant de créateurs web en tous genre, de tous horizons, de toutes formations, et des quatre coins de la France (et au delà, même).
Dur ! dur ! Balladez-vous là dedans et mettez en favoris les sites qui retiennent votre attention, pour X raisons: vous aimez le style graphique, la présentation des prestations et/ou des créations vous parle, la personne a l’air sympa…bref, faites une première sélection des prestataires « qui vous tentent ».

 

Conseil n°2 : Faites jouer les références !

Vous êtes client et vous vous apprêtez à faire un (gros?) chèque pour la création de votre site web. Cela vous donne le droit d’assurer vos arrières, et d’exiger des garanties.
La meilleure parole à écouter dans ce cas n’est autre que celle des clients ayant déjà fait appel au prestataire envisagé.
Dans la plupart des cas, vous trouverez sur les galeries de création des prestataires des « témoignages clients » (qui sont une bonne base d’appréciation mais attention, certains les inventent aussi de toute pièce !), et des liens vers les sites réalisés.
Sur ces sites, les mentions légales dont tout le monde se fiche d’ordinaire comme de sa première chemise (mais qui sont cependant obligatoires, monde cruel), vous donneront des informations précieuses, dont un numéro de téléphone.

N’hésitez pas à vous en servir :

« Bonjour, je m’appelle Mme Future Cliente et, j’ai vu que le prestataire qui m’intéresse avait réalisé votre site. Accepteriez-vous de me dire si vous êtes satisfaite de sa prestation ? Comment s’est déroulé le projet ? Avez-vous rencontré des soucis, et comment ce prestataire les a-t-il envisagés/abordés/solutionnés ? »

Les réponses apportées vous aideront déjà à y voir plus clair. Si au bout de deux ou trois coups de fils, vous n’avez que des « vraiment, rien à redire, je suis vraiment très content(e) », il y a de grandes chances que le résultat soit identique pour vous. Si les ex-clients sont mitigés, essayez de creuser un peu pour savoir ce qui a manqué dans le déroulement de la prestation.
Et s’ils sont effarés et bien… il me semble qu’il n’est pas nécessaire de préciser que le nom du prestataire est à rayer de la liste 

Vous avez votre liste de départ… vient maintenant le temps d’entrer en contact.

Conseil n°3 : Analysez le premier échange

Que ce soit pour une demande directe de devis, ou pour une première prise de contact écrite, il y aura un premier contact.
Profitez de cette première approche pour mieux cerner le prestataire visé : comment accueille-t-il votre demande ? A-t-il l’air ouvert ? son discours est-il clair ? Semble-t-il à l’écoute de vos attentes ?
Si oui, il y a des chances que sa prestation soit à la hauteur de ces qualités. Si vous avez un doute, n’hésitez pas à approfondir ce premier contact : demandez-lui de détailler un peu ce qu’il peut faire pour vous, en combien de temps, comment se déroulera le projet si vous choisissez de lui confier sa réalisation (quelle communication, comment se passeront les échanges de documents, le suivi du développement etc etc).
Si le doute persiste… attendez avant de choisir d’avoir fait un tour plus large des noms figurant sur votre liste, et mettez en comparaison chacun des prestataires contactés.
Lequel, parmi tous ceux que vous aurez lus ou entendus, vous inspire le plus confiance ?

Tout cela peut sembler fastidieux.
Effectivement, cela peut prendre quelques jours, ou quelques semaines. Mais n’oubliez pas une chose : quoiqu’il arrive, votre prestataire vous enverra une facture en fin de projet. Quand on parle de site web professionnel, elle est souvent élevée.
Autant de raisons pour ne pas se tromper et prendre le temps nécessaire à la sélection du prestataire. Une fois le bon de commande signé, il est en effet trop tard pour reculer !

Prochain article :
Le processus de vente – comment contractualiser la commande, la création et le paiement ?

Miel et brûlures - remèdes de grands-mères naturel

 
Comme je l'indiquais dans un précédent billet sur le miel (le miel et les aphtes) est un ingrédient d'une part délicieux mais aussi et SURTOUT plein de vertus insoupçonnées.

Parmi nos recettes de grands-mères, ou encore nos remèdes naturels, aujourd'hui je vais vous parler des vertus du miel sur les brûlures, les coupures, ou encore les plaies légères.

Des études scientifiques, ont récemment démontré les pouvoirs émollients et cicatrisants du miel.

La cicatrisation, et donc la guérison des brûlures et autres plaies superficielles sont plus rapide qu'avec un pansement dit "classique".

  

Certains hôpitaux utilisent d'ailleurs le miel comme soin - le Professeur Bernard Descotte - chirurgien au CHU de Limoges, utilisera durant 25 an (de 1984 à 2009 date de son décès), le miel pour la cicatrisation des plaies post-opératoires et des escarres.
Il a prouvé par l’expérience clinique (sur des milliers de cas - Environ 3000 selon certaines sources) les propriétés cicatrisantes et antibactériennes du miel.
Il a souhaité diffuser ses recherches aussi par l’intermédiaire de l’association.
Il a crée l’AFA (en 2008) dans le but de promouvoir l’apithérapie augmenter, améliorer et accroitre l’intérêt des produits de la ruche sur la santé.

Nous pouvons donc nous inspirer de cette expérience pour soigner nos "petits bobos quotidiens".
Coupures peu profondes, brûlures légères ....

Ordonnance naturelle

Avant toute chose, passez longuement la zone brûlée sous de l'eau froide pour enlever "le premier feu".
Séchez la zone, si possible de manière naturelle (à l'air) et passer un peu de miel avec quelques gouttes d''huile essentielle de Niaouli. (Lequel Niaouli est d'ailleurs recommandé comme protecteur de la peau lors de séance de radiothérapie).

  
Protégez ensuite votre plaie d'une compresse stérile.

Vous pouvez renouveller l'opération 3 fois par jour et ce, jusqu'à totale guérison.

Le conseil en plus

Il va sans dire que si votre brûlure est trés étendue, fait des cloques, est trés douleureuse ou encore touche des enfants, il est absolument recommandé de consulter dans les meilleurs délais.


Et la Propolis dans tout ça ?

Sur les plaies légères ou les petites brûlures, vous pouvez aussi utiliser une pomade à la propolis.
Anti-inflamatoire et antiseptique, la propolis favorise la cicatrisation.


Archipel Parfums vous propose également :
- Son huile de calophyllum (huile de Tamanu) - huile végétale recommandée pour les peaux abîmées et irritées.

- Son baume de massage au Niaouli : Récompensé dans le guide des meilleurs 2011-2012, le baume au Niaouli est un excellent cicatrisant, composé de 100% d'ingrédients actifs

Création de site Web : conseils d'Imélia, graphiste webdesigner pour NE PAS se faire arnaquer

En voilà un sujet qui va intéresser les Mompreneurs et les créateurs d'entreprise.
Tout particulièrement celles et ceux qui envisagent d'avoir une boutique en ligne / un site e-commerce ou même un site vitrine et de le faire réaliser par un prestataire.

 

Je vous présente donc Julie, webmaster et graphiste de formation, créatrice de l'agence Imélia qui se bat pour que son métier ne soit pas pointé du doigt à cause de professionnels qui ne respecteraient pas un minimum de règles.

Merci à toi Julie de nous indiquer les points sur lesquels il faut être vigileant.

Le mot de Julie :

Ces derniers jours, j’ai été le témoin désemparé d’une affaire « d’arnaque à la création de site web » qui laisse rêveur… et qui remet plus que jamais sur le tapis la problématique de ce métier qui est le mien : comment se protéger des charlatans qui sont légion malheureusement dans ce secteur ?

La présence des sociétés "créatrice de site" sur le web étant de plus en plus importante au fur et à mesure que le web se développe et se diversifie, autant dire que la situation ne va pas aller en s’arrangeant.

Je vais donc vous parler des différents points « chauds » de la création d’un site web et quelles sont les faiblesses que ceux que je nomme « les arnaqueurs du web » se feront un plaisir d’exploiter de vous plumer d’une part, et d’autre part pour vous laisser repartir avec un site « tout pourri » (pardonnez-moi l’expression mais je n’en vois pas d’autre…) qui fera tout sauf satisfaire les besoins qui étaient les vôtres au départ.

Gare à l’abus de faiblesse !

Créer un site web est une opération complexe.
Cela nécessite une connaissance poussée de langages spécifiques au web et, plus généralement, une bonne maîtrise technique de l’ensemble de l’environnement internet.
C’est d’ailleurs pour cela que c’est un métier car, dans 99, 9999% des cas, le développement d’un site web de qualité demande à celui qui le crée un niveau élevé de compétences.
C’est pour cette même raison que cela coûte relativement cher.
Et c’est pour cette même raison encore que vous pourrez facilement, en tant que client « ignorant », vous faire rouler dans les règles de l’art.

A noter que, dans mes propos, le terme de « client ignorant » n’est absolument pas péjoratif.
Il correspond seulement à un état de fait : le web est un environnement à part, et peu de gens dont ce n’est pas le métier savent exactement comme il est construit.

Les Arnaqueurs du Web jouent donc sur deux principes majeurs et il faut bien garder cela à l’esprit:

1) Votre « ignorance » du monde de la conception web.

2) Votre impuissance face à un élément de communication et/ou de vente dont vous avez un besoin urgent et indispensable, et ainsi votre obligation de sous-traiter sa réalisation à un professionnel car vous n’en maîtrisez pas les tenants et aboutissants.

Ces deux faiblesses que présentent la quasi totalité des clients qui solicitent un webmaster ou un développeur consituent des brêches qu’il est extrêmement aisé d’exploiter afin de facturer un maximum une prestation tout à fait déplorable, sans que le client n’aie le moindre soupçon… jusqu’au jour ou quelque chose viendra lui mettre la puce à l’oreille et qu’il viendra demander des comptes.
Mais généralement, à ce moment là il est déjà trop tard…

A travers cette série d’articles, à paraître entre aujourd’hui et la quinzaine à venir, je vais tenter de détailler le plus clairement possible de quelle manière vous pouvez réussir, en tant que client et malgré ces faiblesses, à vous protéger des prestataires mal-intentionnés et quelles sont les astuces qui vous permettront de garder la main mise sur votre projet.